Il y a des marques que l'on aime suivre de près, parce qu'elles nous séduisent à chaque nouvelle collection. C’est le cas de la Maison PAUL MARIUS, qui ose, crée, invente... et se réinvente depuis plus de 10 ans.

Griffe de maroquinerie haut de gamme, née dans la jolie ville française de Rouen, elle évolue au gré des tendances tout en restant fidèle à son savoir-faire artisanal alliant tradition et modernité. Le résultat ? Des créations aux finitions couture et aux accents joyeusement vintage qui apportent une touche d’élégance et de sophistication à toutes nos tenues. 

Une édition limitée follement irrésistible

Cet automne, la Maison Paul Marius continue de nous surprendre en inaugurant une nouvelle ligne nommée La Suite. Une collection résolument contemporaine, lancée avec l’Edition Limitée "Art Déco" qui s’inspire des bars à cocktails et des soirées emblématiques des années 20. 

La Maison Paul Marius rend ainsi hommage à cette époque synonyme de liberté et d'effervescence créative en dévoilant plus d’une dizaine de modèles aussi canons que pratiques. Monté sur un beau cuir de vachette pleine fleur certifié LWG (c’est-à-dire respectueux de l'environnement et socialement responsable), assorti de métallerie débossée et de tranches teintées, chaque sac se démarque par sa délicatesse et son fabuleux sens du détail.

Esprit vintage, allure tendance

L’Edition Limitée "Art Déco” accueille certains modèles iconiques de la marque comme le Mademoiselle George ou le Suzon qui nous charment par leurs jolies formes géométriques et épurées, capables de s’accorder avec tous les styles. La marque explore aussi de nouvelles formes, plus rondes, comme avec le sac Aline, facile à porter en journée comme en soirée.

Côté nuances, chaque sac se décline en quatre version intemporelles, parfaites pour glisser en douceur dans l’automne : Noir, Caramel, Zinzolin et Amande. Lequel choisir pour nous accompagner dans toutes nos aventures du quotidien ? Telle est la question ! On sait qu’il serait plus raisonnable de n’en retenir qu’un, mais on n’y peut rien : notre cœur de modeuse s’imagine déjà les collectionner.