• Toute première fois

Sans hésiter, j'associe ma meilleure expérience sexuelle à la toute première fois.

J'avais 17 ans et ça faisait un an qu'on butinait sans aller plus loin.

Je ne sais pas si c'est l'effet découverte ou la cristallisation après toutes ces années, mais, en tout cas, c'était un vrai moment de partage, de sensualité... Je me sentais un peu tétanisée, mais mon désir m'a littéralement submergée.

Jamais un homme n'a été aussi patient et à l'écoute de mon corps. De temps en temps, j'aimerais à nouveau avoir 17 ans pour retrouver ces frissons ingénus.

Olga, 28 ans

  • Un anneau vibrant

Il y avait une promo avec notre boîte de préservatifs : un anneau vibrant.

On l’a d’abord ignoré plusieurs jours. Pas besoin de ça pour prendre notre pied. Mais finalement, la curiosité nous a rattrapés.

Eh bien, ce truc, c’est juste dingue. Ça m’a déclenché une vague orgasmique.

Si ça ne tenait qu’à moi on l’utiliserait à chaque câlin, mais j’ai senti que Matthew se sentait atteint dans sa virilité : il aimerait me procurer de telles sensations, sans artifice.

Depuis, l’objet du délice dort dans la table de nuit. Affaire à suivre.

Lydia, 27 ans

  • Une fille délicieusement charmeuse

Depuis plus de trois ans j'étais célibataire.

Pourtant, je me faisais régulièrement draguer. Mais je trouvais toujours une faille au candidat.

Un soir, chez des copains, je tombe sur Élise, une fille délicieusement charmeuse. Je passe une soirée hors du temps à ses côtés. Je me sens bien, décomplexée. J'apprends plus tard qu'elle est lesbienne. Bien que troublée, j'ai en­vie de la revoir.

Je n'ai pas eu à attendre longtemps, vu qu'elle m'a rappelée pour me proposer une soirée salsa.

Elle m'a fait plus d'effet que n'importe quel homme croisé jusqu'alors. Je me suis laissé guider, séduire, charmer. Tous mes sens se sont éveillés grâce à elle.

Vidéo du jour :

Ça fait deux ans qu'on est ensemble, elle est comme une drogue douce pour moi.

Solveig, 35 ans

  • Un club de strip-tease

Le soir des 30 ans d'un copain, on a tous atterri dans un club de strip-tease.

L'ambiance était suave, avec des danseuses entortillées autour de rampes de pompier.

Nous, les filles, on y allait à reculons : l'idée de voir nos hommes en émoi devant des bombes dénudées nous gênait.

Mais j'avoue que, malgré mon appréhension, je me suis prise au jeu. J'ai chauffé mon homme comme jamais, à croire que j'étais en compétition avec ces nymphettes.

Lui se laissait faire, béat d'excitation.

On est partis les premiers et on n'a même pas eu le temps d'arriver chez nous : la voiture nous a servi de terrain de jeux sexuels. Je n'avais jamais ressenti autant de désir entre nous.

Chloé, 30 ans

  • L'obscurité...

Une semaine après notre premier baiser, Ethan me propose de venir dîner chez lui.

J'arrive avec le cœur qui bat à mille à l'heure et, là, l'appart est plongé dans l'obscurité.

J'entends juste sa voix qui me guide : « Entre, avance dans le couloir en face de toi, tu me fais tellement craquer que je n'aurais jamais osé te dire ça à la lumière... »

Quelques secondes plus tard, je sentais ses mains sur moi. Je me suis laissé effeuiller dans une totale obscurité. C'était extrêmement charnel ; le fait qu'on se devine sans s'apercevoir rendait le moment exaltant.

J'ai connu les plus longs préliminaires de ma vie... et les plus délicieux.

Rose, 27 ans

  • Une patinoire illuminée

Pour payer ses études, Jérôme faisait tout un tas de petits boulots. Un coup voiturier, un coup serveur. Je l'admirais pour sa détermination.

Un soir, il m'a fait la plus jolie surprise possible. À l'époque, il était gardien de nuit d'une patinoire.

À 22 heures, je reçois un texto « Viens vite, c'est urgent »... Je suis arrivée en imaginant le pire, mais le meilleur m'attendait : il avait illuminé toute la patinoire avec des centaines de petites bougies et mis « Only you » à fond dans la sono.

On a dansé en patins à glace, bu du champagne plus que de raison et surtout fait l'amour à répétition, dans les gradins, dans les vestiaires...

Le contexte y était sûrement pour beaucoup, mais je n'ai jamais ressenti une telle jouissance.

Maeva, 26 ans

  • Un garçon de 15 ans plus jeune

Mon expérience la plus dingue, je la dois à Rodrigue, un copain de mon petit frère. Comme quoi, ça a du bon, un garçon de quinze ans plus jeune...

Sa fougue amoureuse et sa façon de m'embrasser me faisaient décoller sous la couette.

Pendant trois mois, on a été complètement accro. Rien ne nous arrêtait : j'étais prête à planter mon job pour aller le retrouver deux heures, entre ses cours à la fac.

Une parenthèse embrasée à la­quelle j'ai mis fin à contrecœur : il fallait, à 35 ans, que je construise plus sérieusement ma vie.

France, 36 ans

  • Une nuit dans le désert

Pour notre voyage de noces au Maroc, l'hôtel nous offrait une nuit dans le désert, avec dîner traditionnel.

Après trois heures de 4 x 4, nous voilà perdus en pleine dune.

C'était féerique : bougies, tapis berbères, pétales de roses, tous les ingrédients étaient là pour stimuler notre libido, déjà boostée par nos ébats de la veille.

Dans la voiture, David avait les mains bien baladeuses et, dès que notre guide a eu le dos tourné, on a inventé de nouveaux chapitres au Kama Sutra. Cette soirée m'a permis de me libérer.

Ça reste ma meil­leure expérience, car elle a ouvert la porte du « tout est possible ».

Erin, 32 ans

  • Un hôtel de charme en vendée

Après une grossesse difficile sans rapports sexuels, puis le post-accouchement, on n'en pouvait plus. On avait hâte de retrouver nos corps à corps.

Sauf qu'avec un nourrisson qui ne fait pas ses nuits et des cernes jusqu'au nombril, j'avais du mal à réinsuffler un vent de sexualité entre nous.

Mon mari ne voulait pas trop me brusquer, mais je le sentais en appel.

Sur un coup de tête, j'ai réservé dans un hôtel de charme en Vendée, j'ai confié le bébé à ma mère et j'ai in­vesti dans une guêpière en dentelle. Eh bien, après cette famine sexuelle, on a retrouvé un appétit inconnu : ce week- end-là, on n'est pas sortis de la chambre, on était comme deux amants-aimants.

Céline, 36 ans

  • Avec un sex-toy

Bah, moi, c'est avec un sex-toy que j'ai le plus vibré. Parce qu'au moins je sais où ça fait du bien.

Nathalie, 29 ans

  • Une décennie de vie commune

Difficile à dire car je n'ai eu qu'un seul homme dans ma vie, celui à qui j'ai dit « oui » après six ans d'idylle.

Donc pas d'échelle de comparaison, mais, au bout d'une décennie de vie commune, on fait encore l'amour quatre fois par semaine.

Il y a bien un lien de cause à effet.

Joëlle, 32 ans

  • Des messages coquins à un inconnu

Ma meilleure sex-experience s'appelle Gaspard, rencontré sur Meetic. Ce qui m'a plu, c'est qu'on a inversé le processus : sans même s'être vus, on se disait déjà des choses très coquines.

Il savait être aussi attendrissant que sexuel, dans ses mails. J'appréhendais la rencontre, de peur d'être déçue par son physique. Mais ça a été tout le contraire : la complicité qu'on avait par téléphone s'est retrouvée sous la couette.

Avec lui, je me suis sentie débloquée érotiquement, je pouvais tout lui dire, rien ne le choquait.

Malheureusement, ça n'a pas duré car il a été muté à Manille pour son boulot. On a voulu y croire, mais l'histoire est vite tombée à l'eau. Depuis, j'ai du mal à trouver un partenaire avec lequel je me sente aussi à l'aise.

Marine, 28 ans

  • Un massage thaïlandais

Eté 2006, un massage inoubliable en Thaïlande. Vous savez, dans ces cabines pour amoureux.

Après une heure de papouilles, on nous laisse dans cette petite pièce sombre, enduits d'huile de la tête aux pieds.

A priori, c'étaient les quinze minutes de repos post-massage, mais on en a fait tout autre chose : un jeu érotique hautement excitant.

Nos peaux glissaient l'une contre l'autre, on a fini par décrocher un orgasme en simultané. Tout ça avec la peur que la porte s'ouvre. Mémorable.

Inès, 30 ans

  • Pendant ma grossesse

Pendant ma grossesse, j'avais les hormones en folie... De simples effleurements de mon homme déclenchaient en moi un feu interne.

Gérald était en transe et, malgré mon gros ventre rond, je me sentais super sexy. C'est peut-être pour ça qu'il veut un deuxième enfant.

Amandine, 32 ans

  • No limit

Quand je passe en revue mon historique sexuel, c'est clairement la bulle que j'ai vécue avec Salvatore qui sort du lot. Je faisais un stage à Milan et il bossait dans le bureau d'à côté. Loin de chez moi et de la pression parentale, tout était permis.

Il n'était ni de mon âge ni de mon milieu, mais l'osmose sexuelle qu'on a connue dépassait toutes ces barrières.

De retour chez moi, je suis retombée sur mon ex, qui m'a sorti le grand jeu. J'y ai cru. Et j'ai eu raison, puisqu'on est mariés.

Le bonus ? Cette parenthèse milanaise avait réussi à booster ma libido, et on profite de ses bienfaits aujourd'hui encore.

Emmanuelle, 26 ans

  • Un parfum d'interdit

Mes ébats les plus excitants ? Forcément liés au goût de l'interdit puisque c'est arrivé avec un homme marié.

Richard était à la fois entreprenant et inaccessible, c'est ce qui m'a fait succomber. Je ne savais jamais quand et combien de temps j'allais le voir, mais une chose était certaine : il me faisait l'amour comme personne.

Ses talents d'amant me manquent encore, mais je suis heureuse d'être sortie de cette spirale de dépendance.

Judy, 28 ans

  • Une partie de strip-poker

Ma meilleure expérience sexuelle dure encore.

Ce qui est plutôt marrant, c'est la façon dont ça a commencé : une partie de strip-poker entre copains, lors d'un week-end à la campagne. Je me faisais plumer. À tel point que Jérôme, mon meilleur copain, me donnait un coup sa chemise, un coup ses chaussettes, pour tenter de me rhabiller.

Je sentais un jeu de séduction s'instaurer entre nous. Pas possible, c'est mon pote d'enfance. Sauf que sa jalousie devenait de plus en plus manifeste : il ne supportait pas que je perde et enlève une couche de tissu devant les autres.

Mauvais joueur, il finit par faire valser le jeu et monter dans sa chambre. Je le rejoins. On n'a pas le temps de s'expliquer qu'il me plaque déjà contre le mur pour m'embrasser. Je résiste juste un peu.

On a complètement oublié les autres en bas... Comme quoi un ami peut se révéler le meilleur coup du siècle !

Lalie, 33 ans

  • Une nuit sans lendemain

L'épisode le plus ardent de mon cv sexuel, c'est une nuit sans lendemain.

On s'est croisés lors de l'inauguration d'une galerie d'art. Dès qu'il est arrivé, je n'ai vu que lui.

J'ai trouvé le premier prétexte bidon pour lui parler. Le temps a filé à une vitesse fabuleuse et, tout à coup, il était minuit...

Le plus naturellement du monde, il m'a proposé d'aller dîner. On s'est retrouvés dans une brasserie avec un plateau de fruits de mer.

Là encore, on a fait la fermeture. Puis j'ai fait tout ce que ma mère m'a toujours interdit en lançant « tu veux venir prendre un dernier verre ? ».

Quelques heures plus tard, je lui demandais « combien de sucres dans ton café ? ». Entre-temps, on avait vécu des moments incandescents. Je n'ai jamais eu de nouvelles de lui. Il avait pourtant pris mon numéro...

Myriam, 33 ans

  • Un équipement XXL

Quand je suis tombée sur ce partenaire avec un équipement XXL, mon plaisir a été décuplé.

Dommage que ça n'ait pas fonctionné entre nous ailleurs que dans un lit, car, avec lui, je m'assurais une vie sexuelle trépidante.

Pauline, 24 ans

Et vous, quelle est votre meilleure expérience sexuelle ?